Qui suis-je ?
34Le type sur la photo, oui c’est moi. Jean François Dortier.
Je vis à Auxerre dans une belle maison, avec la femme de ma vie (elle apparaît sous le nom de MC dans le blog). Ensemble, on a fait deux enfants très réussis : Romain et Marie. Romain est développeur informatique. Marie est graphic designer. Ensemble ils ont formé un groupe musical homemade pie.
– Je dirige la revue Sciences humaines (que j’ai créé il y a plus de vingt ans). Depuis, le magazine a fait des petits : les éditions Sciences Humaines, le site scienceshumaines.com, le cercle psy.
– j’écris des livres, des articles et je mène à titre privé, une grande enquête l’anthropologie philosophique autour de la question : Qui sont les humains ? C’est l’objet de la Quatrième question.
A part cela : j’ai cinq soeurs, un frère. Papa et maman sont morts tous les deux. J’ai de très bons amis; je cours à pieds; je joue (mal) du piano, compose et chante (pour le plus grand malheur de mes proches : « Arrête, Jean-François, tu n’es pas doué pour ça. Je t’en prie, arrête ! », me dit souvent Mc en se bouchant les oreilles).
Pour ma bio « officielle ». voir sur Wikipédia
Pour l’histoire de la création de sciences humaines : « La réussite singulière de la revue sciences humaines.
Dernière précision: je souffre d’un mal incurable : la dysorthographie (je l’ai bien écrit?). J’essaie de me soigner, mais les correcteurs orthographiques eux-même n’arrivent pas toujours à compenser mon handicap. Vous le verrez en lisant ce blog.
Je ne suis pas daccord quand vous dites, en guise de conclusion, que l’entreprise de Husserl est un échec pour être restée inachevée.
Pour n’avoir lu pour l’instant que les » Méditations Cartésiennes » et le manifeste » La Crise des Sciences européennes » d’une très grande acuité plus que jamais d’actualité, je vois plutôt une assise solide contenant une levure philosophique qui ne demande qu’à être levée et exploitée par les générations successives.
En tout cas, cet homme était d’une intégrité intellectuelle que n’ont pas les scientistes murés dans leur matérialisme dogmatique sans saveur.
Et surtout, qui du Maître Husserl ou de l’élève Heidegger était le plus lucide quand on sait que ce dernier, – sans sourciller, a abondonné toute attitude critique husserlienne en pensant que le » National Socialisme Nazi » représentait l’Archétype de la Citoyenneté Universel et Salvatrice, – comme n’importe quel quidam n’ayant pas un Certificat d’Etudes?
ça- pour un philosophe- c’est plus qu’une gaffe !! – ça, – oui – c’est un vrai échec de la Pensée!!
Bonjour, je suis une étudiante à l’université de Montréal, et dans le cadre de mon cours Éléments d’anthropologie, notre lecture est : «L’homme, cet étrange animal»
Je vous écris pour vous dire que je trouve que le titre de ce livre fait preuve d’androcentrisme. Même si la plupart des gens admettent qu’on entend par là les hommes ET les femmes, je ne suis pas d’accord. Il y a un terme pour désigner les hommes et les femmes. C’est le mot : humains, et je pense que c’est «L’Humaain cet étrange animal» qui serait un titre beaucoup plus juste et approprié.
En vous remerciant.
Magalie Baudouy
J’ai fais une erreur de frappe dans le mot Humain
J’adore ce que vous faîtes et je reste depuis des années une fidèle lectrice de SH. Alors pardonnez-moi … mais ce serait mieux sans le « s » « Arrête, Jean-François, tu n’es pas doué pour ça. Je t’en prie, arrête ! », me dit souvent Mc en se bouchant les oreilles).
Bravo pour cette revue et la décontraction de votre « encart » auto-biographique ! Montrer ce qui nous rapproche, de l’humain au ras du quotidien et de la banalité d’un parcours de vie, parmi tant de parcours possibles, dans ce qu’ils ont de réussi et de râté, voilà qui me plaît beaucoup, même si je ne réagis pas à tous vos e-mails, même si je les ouvre tardivement… Donc très bonne santé physique, intellectuelle et morale pour 2012 !
Bonjour,
Après avoir parcouru votre site, j’ai pensé que cela pourrait vous intéresser:
–> http://cargocollective.com/edwaxed
il s’agit d’un livre que j’ai réalisé et qui propose, via une approche médiologique modifiée, une lecture du phénomène de domestication. Domestication des animaux par les humains, domestication des humains par d’autres humains, par des idées…
Avis aux amateurs 😉
Peace out.
J’ai bien aimé votre éditorial « histoire d’une pomme » du n°251 de Sciences humaines, cependant mon expérience de gardien de vaches, dans mon enfance limousine m’ont appris le gout immodéré des vaches pour les pommes, mon rôle entre autre était de préserver les pommiers de leurs attaques…
Quand aux chats, mon expérience est insuffisante pour pouvoir juger…
bonjour,
Je ne sais pas quels sont les rédacteurs du hors série 16 « la philosophie en quatre questions » mais je leur adresse tous mes
remerciements et félicitations pour avoir su guider le lecteur tres simplement vers l’étroit passage menant à l’univers de la philosophie.
La performance est remarquable.
Un plaisir.
Tres cordialement.
M Amari
suite : je ne souhaitais pas spécialement que le commentaire soit diffusé. je tenais vraiment à vous remercier.
M Amari
Bonjour, J’ai lu votre éditorial de décembre 2013, no 254 que j’ai trouvé très intéressant. Comme Hervé (mais loin d’être aussi ambitieuse), je commence une troisième vie à 60 ans. Après avoir travaillé plus de 20 ans pour une grande entreprise, je me suis trouvée tout d’un coup sans emploi à 59 ans. J’ai décidé de devenir travailleur autonome, ce que je suis maintenant, une tentative pas tout à fait réussie. Récemment, j’envisage même retourner aux études. J’hésite. Je n’hésiterais pas à 40 ans, mais à 60… Alors disons que j’y pense plus sérieusement après avoir rencontré Hervé sous votre plume. Merci.
Bonjour,
Sauf erreur de ma part, vore article sur « Socrate méritait la mort ! » n’est pas accessible. Lorsque je clique, le message « Erreur 404 » apparaît. Voilà pourtant une « affirmation » qu’il eut été intéressant d’examiner.
Cordialement.
Marianne DUPIN
je viens de recevoir le numero spécial de SH, « 200 livres qui comptent », vous signez plus de 20 articles et critiques de livres, nicolas journet aussi est à toutes les pages
même pour des critiques minuscules vous mettez vos initiales
ne devriez vous pas parfois malgré le succès de SH, vous arrêtez au bord du chemin
et vous retournez…. à l’occasion par exemple d’un dossier sur le narcissisme
ou alors changer le nom « les sciences humaines vues par JF Dortier et Nicolas
Journet »
ça me fait penser un peu à BFM TV ou radio ou un(e) seul ( e) journaliste tient
l’antenne pendant des heures, épuisant
ps : je vois que dans votre blog vous dites avoir une belle maison et des enfants
« réussis », la aussi franchement
Bonjour,
Je voudrais apporter quelques réflexions sur la pensée humaine qui peuvent alimenter la discussion sur l’homme, cet animal narcissique.
Le narcissisme est le propre de l’humanité et sera sa perte.
– Penser
On a établi aujourd’hui ce qui n’était qu’une intuition (au moins pour les personnes non adeptes de l’âme) à savoir que la « conscience d’être un Je-moi qui voit le monde autour de lui -au moins à presque 180 degrés- » est une illusion, une fiction créée par le fonctionnement du cerveau au niveau le plus intégré. C’est un artefact émergent de l’activité sous-jacente et de boucles d’auto-références, comme une sorte de compte rendu (très partiel) élaboré par cette activité sous-jacente, la seule réellement opérante et décisionnelle. Appelons cette couche neuronale complexe « pensée », ignorons la « conscience », fumée dans notre tête, mais dont tous les éléments sont gérés par la couche de pensée.
Ce cortex nouveau a pris une place croissante (grâce à la dilatation de la boite crânienne) au dessus du cerveau plus ancien qui avait évolué jusqu’au primates supérieurs. La couche de pensée est capable d’intégrer à la fois les perceptions internes et externes pour construire sa propre vision du monde et ne fonctionne sûrement pas comme elle nous apparait en « conscience ». Elle s’auto-évalue et s’adapte en permanence, en fonction des évènements nouveaux qui se produisent à la fois en entrée et en interne, en les comparant aux données mémorisées.
Ces possibilités ne sont pas dévolues à la couche plus ancienne issue de l’évolution naturelle, les primates et les premiers hominiens ne doivent pas penser de la même façon pour la simple raison que les réelles traces de pensée n’apparaissent qu’à la fin du paléolithique avec les fresques rupestres. Les grottes sont les recoins du cerveau des homo sapiens, éclairés par leurs visions nouvelles. Peut être ont-elles servies de tableau d’école pour permettre aux autres humains d’apprendre à « voir » comme ces priviligiés. On peut dire que cette faculté était déjà plus répandue au néolithique et au fondement de l’explosion sociale et culturelle.
– Apprendre à penser
Si la couche « animale » est le résultat de l’évolution, la couche « pensée » a subi la pression évolutive dans la mesure où les individus qui développaient certaines facultés d’adaptation supplémentaires étaient sélectionnés, ainsi les premiers « visionnaires » ont du être favorisés, mais ensuite l’évolution s’est plutôt faite par apprentissage.
L’augmentation de volume de la boite crânienne, résultant de l’évolution naturelle, a permis au cerveau de développer ses possibilités corticales, mais il serait plutôt naif de croire que parce que le cerveau a pris plus de place il y a 200 000 ans (et déjà antérieurement pour les différents essais d’humanité), que les possibilités cérébrales acquises depuis étaient requises dès lors, comme par un miracle évolutif. L’homo sapiens du paléolithique n’est pas celui du néolithique et pas celui d’aujourd’hui et parmi les humains d’aujourd’hui il y a surement de grandes différences intra spécifiques. On n’a certainement pas les mêmes représentations de la réalité, tellement cette représentation dépend de l’histoire individuelle, plongée dans le bain de la culture ambiante et celle de son groupe humain le plus rapproché.
L’homo sapiens a commencé à « penser », c’est à dire a utiliser les potentialités de son nouveau cortex, pendant 200 000 ans et plus particulièrement pendant les derniers 50 000 ans, aux environs de la fin du Paleolithique. La « conscience » émergente est la trace d’un certain niveau d’acquisitions intellectuelles, les premières re-présentations du monde alentour suffisamment intégrées et expérimentées et, dans ce monde d’alors, qu’est-ce qui était suffisamment pregnant pour être un bon candidat à l’émergence ? De toute évidence ce furent les animaux que l’homme chassait et qui le chassaient, le décor autour étant éludé comme non significatif, ainsi que les autres humains qui faisaient partie intégrante des couches neuronales animales.
Les fresques animales témoignent de cette « prise de conscience » progressive. Elles ont pu être aussi le support d’un apprentissage pour les autres humains qui n’avaient pas encore « vu » ces images dans leur tête.
Un détail qui apporte un argument supplémentaire à cette acquisition tardive de la pensée : les dessins négatifs-positifs des mains, généralement à l’entrée des grottes étaient plus facilement compréhensibles de tous, parce que déjà de nombreux individus avaient fait l’expérience visuelle de regarder sa main devant le soleil, ce qui donne un flash lumineux tantot positif tantot négatif que tout un chacun a déjà expérimenté. Qui sait si ce flash a été le déclencheur de la conscience visuelle ?
– Histoire
Puis tout s’accélère et les humains acquièrent très vite, par un effet d’accumulation d’expérience « consciente » et de constructions neuronales. La seconde étape qui continue aujourd’hui constitue l’anthropocène. Elle débute par la construction du « Je » versus les « autres ». Le « Je » en construction dans chaque cerveau est une prise de conscience de soi et des autres à la fois, Je-moi prend son identité dans le cerveau et, en même temps, le monde apparait autour de lui, de plus en plus détaillé, re-présentation fictionnelle qui évolue avec l’individu dans sa (micro)société. La société des hommes est dès lors en marche et l’homme ne pense déjà plus de la même façon. Il s’éloigne de la nature pour ne plus voir que son humanité, l’individu veut vivre parmi les autres et être accepté par ces autres.
Au néolithique et jusqu’à maintenant l’homme ne vit plus que pour l’homme, exècre la nature au point de la masquer sous ses constructions, villes, routes, bitume, son art sa culture, pourquoi ? La nature dont il s’est extrait lui fait-elle suffisamment peur ou lui est-elle indifférente pour qu’il l’ignore totalement durant l’évolution de sa pensée collective ? Il éprouve tout de même le besoin de justifier l’exploitation éhontée des ressources naturelles, par exemple par une croissance nécessaire au le bien de tous. La civilation qu’on a créee est narcissique au point d’ignorer qu’elle mène à sa perte, coupant la branche sur laquelle elle s’est développée.
Bonjour,
j’écoutais vos dvds sur la religion universelle ; c’est super intéressant. Je note seulement que vous ne pouvez jamais évoquer le christianisme sans ironie (et parfois avec erreurs, le décalogue se veut universel justement, on ne tue pas l’homme innocent (la peine de mort demeure en vigueur) , mais ceci implique AUSSI les hommes des autres clans et les esclaves, ce qui fait la particularité du décalogue), et que quand vous dites le bien que tel prêtre allemand a fait pour aider le peuple des Setnam (?, dvd 3) en argentine, vous vous sentez obligé d’excuser sa prêtrise en expliquant qu’il a fait le séminaire que pour être ethnologue … dommage, j’aurais besoin moins d’aprioris négatif, de plus de neutralité scientifique. Peut-être j’ai mal compris vos intentions, mais ca met mal à l’aise si on est pas forcément anticlérical. Excusez ma franchise très directe. Je réagis pour comprendre aussi
Un grand merci à la magie de la vie! Quel bien fou de pouvoir lire les écrits d’un être humain, qui partage ses connaissances avec simplicité.
Et puis quelle oeuvre a été complètement achevée? Pas même l’éminent Martin Heidegger n’a pu terminé que par ce qu’il voulait considérer comme la première partie de son travail intellectuel l’Être et le Temps. C’est cet inachevement chronique qui nous caractérise tous. Nous sommes tous inachevés, nous sommes tous imparfaits. Ce qui est inachevé n’est pas absolument un échec; puisqu’il laisse ouvrir une possibilité de perfectionnement et d’amélioration.
J’ai tellement apprécié votre conférence à la Charité sur Loire que j’en voudrais bien le texte !
Merci d’avoir créé cette revue
Bonjour,
Je suis doctorante en musicologie en dernière année. J’ai téléchargé un vos articles: Les origines de l’art. j’ai voulu savoir qui vous étiez et je suis tombé sur ce blog. J’ai été interpelée par votre « mal incurable : la dysorthographie », je crois que je souffre du même mal que vous. C’est une amie qui m’en a parlé. Je suis venue à l’écriture qui je pense, ne me lâchera plus de part ma profession, quand je suis entrée en Master II. Je me demandais alors comment je ferrai avec ce problème? Votre déclaration me rassure et me montre que des gens comme moi écrivent tout de même! Si vous pouvez m’éclairer un peu plus en répondant à cette question: par quel moyen cela se soigne-t’il?
Merci
VAITY
Bonsoir,
Après la journée passée en votre compagnie jeudi dernier, j’ai lu votre revue.
Belle surprise! Les articles sont construits et intéressants et surtout: pas ennuyeux!
Je vais donc découvrir les autres…
Un des papas de Sciences Humaines habite à 25 minutes de chez moi! Quelle surprise de bon matin!
Bonne continuation!
Bonjour,
On aimerait vous inviter à donner une conférence à Poitiers dans notre Centre de culture scientifique : nous organisons un cycle de conférences en partenariat avec une des écoles doctorales de l’université de Poiiters.
Comment puis-je vous contacter afin de vous raconter tout ça ?
Je vous remercie beaucoup,
Au plaisir de vous lire,
Bien à vous
Anne Piriou
Je vais tres vite et pourtant je n ai ni jambes ni ailes. Vous aurez beaucoup de mal a vous mesurer a moi, mais si vous y arrivez, cela fera beaucoup de bruit. Vous voulez me saisir ? Impossible ! Me voir ? Je suis invisible.
Actuellement en cours de psychologie du développement, nous avons utilisé votre biographie pour nos recherches . D’ailleurs nous vous souhaitons en ce 5 octobre 2016 un joyeux 60ème anniversaire . Bien à vous Les Apprenties Psychologues 😀
Merci les apprenties psychologues (???)
Gràce à vous je passe une meilleure journée. 60 ans: même pas mal (enfin si quand même…).
Jean François D.
bonjour
Désolé de vous répondre tardivement.
Si vous souhaitez toujours m’inviter, vous pouvez me contacter directement à [email protected]
Cordialement
Jean François D
Merci pour votre intervention aujourd’hui qui était très intéressante 😉
Une coureuse « libre » !
Je viens de m’inscrire à votre blog parce qu’il reflète une authenticité de propos. À vous lire, nous avons tous plus à gagner qu’à perdre. Au début, mon esprit a été indécis et interrogatif, car comment un homme, aussi documenté et doué psychiquement, peut-il écrire aussi mal en faisant des fautes que je qualifierai d’étranges. Puis, en toute fin de présentation, comme un coup de gong, la vérité s’invite en s’adressant à mon tympan par le mot : dysorthographie.
Comme je viens d’arriver, pour l’instant, je n’ai fais que de survoler votre blog en ouvrant quelques fenêtres au gré des mots ou des phrases les plus résonnants (raisonnants) en moi.
Au plaisir de vous lire, bien à vous…
Bon Anniverssaire !!
Bonjour, Je suis « tombé » par hasard sur votre blog via une recherche sur les racines de la phénoménologie et les paradoxes que constituent sa filiation « amont » et « aval », notamment ce qui apparaît comme l’OPA intellectuelle de HEIDEGGER sur HUSSERL et la renonciation — peut-être trop rapide– à l’héritage kantien. Que sommes-nous sans nos prédécesseurs ? Des nains. Je m’interroge d’ailleurs aussi sur les liens qu’il y a pu avoir entre BERGSON et HUSSERL, entre CASSIRER et LEVI-STRAUSS, et pourquoi tant d’indifférence intellectuelle (ignorance ?) de chaque côté du Rhin, ou juifs et gentils ?… Vos lumières m’intéressent. J’ai rencontré aussi en chemin les textes de Dominique JANICAUD à propos du « tournant » de la phénoménologie française, qui évoque un remise en selle de la spiritualité dont on eût préféré qu’elle ne soit rancardisée trop tôt et ringardisée à mauvais escient… JLB
Je viens de lire le 2 me numéro d’humanologue »pourquoi Dieu existe encore »
J’ai beaucoup aimé en plus du style fluide, et de la richesse de la documentation, le tact ou le recul que vous avez, qui permet à chacun de se sentir compris et de comprendre ceux qui pensent différemment. Bravo. Une nouvelle recrue dans votre fan club:)
bonjour Monsieur Dortier … figurez vous que je m’impatiente du N° 4 L’Humanologue … j’espère que vous allez bien ainsi que vos proches. J’ai besoin de vous lire car je commence une nouvelle initiative : un « pôle santé, environnement, société » un lieu de rencontres, entre citoyens, en auto apprentissage suivant les échanges réciproques de savoirs et d’expériences … afin de partager nos différences pour en extraire les richesses communes. Je constate le désarrois grandissant des pékins comme moi qui ne savent plus comment envisager … après demain, demain c’est déjà trop tard, puisque dans l’impossibilité de comprendre et donc choisir parmi les foultitudes d’informations Bien à vous Pierre retraité professionnel
Bonjour,
Faisant une thèse sur le rôle des femmes dans la résilience des sociétés humaines, j’aimerai échanger avec vous. Comment vous voir pour un échange pas forcément public?
Plus spécifiquement, je voudrais mieux comprendre comme argumenter que du fait d’un androcentrisme historique ancré dans la plupart des sociétés humaine, la reproduction sociale (travail reproductif notamment)pourrait permettre d’afiner les études sur le passé et le présent des êtres humains…en gros, comment conforter l’humanologie dans les sciences étiquetées jusqu’à présent? merci de votre réponse.
Bonjour, l’histoire mondiale de la pensée est excellent ; je suis néanmoins surpris de ne pas voir figurer la naissance de l’individu, l’homme dans sa dignité unique avec le christianisme (issu du judaisme) ouvrant ainsi la voie à la modernité des Droits de l’Homme.
Enfin vous signalez le livre de Thomas Lepeltier, en effet magistrale Histoire et philosophie des sciences.
Merci beaucoup